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samedi 4 juin 2016

Du goût prononcé des Incas pour les escaliers ou Cuzco, la Valle Sagrada et le Machu Picchu.

Arrivée de nuit à Cuzco, après une une bonne journée dominicale à ne faire que de la route sur des routes plus moins bonnes. Passage devant une 56ème chapelle sixtine d’Amérique du Sud. Dommage, je n’aurais pas droit à ma petite visite, il fait nuit…


Retrouvailles prévues à 10h le lendemain matin avec les Auvinet, arrivés depuis 3 jours, pour visiter les ruines de Sacsayhuaman près de Cuzco. Nous n’arrivons pas à décoller et n’arrivons qu’à 10h15 dans les ruines ou nous avions rendez-vous.
Nous voilà donc à traverser tout le site en courant, à refuser de prendre un guide en courant, à passer devant de superbes ruines en courant, et aller à l’autre entrée en courant… hyper intéressant comme visite. Mais point de Auvinet. 
Après un coup de fil éclair, nous découvrons qu’ils ont un peu de retard, qu’ ils ont oublié de prendre des sous pour payer l’entrée, et qu’il faut qu’on vienne les dépanner à l’accueil. HA, Daoud et Sylvane, Ma qué…Plaisir des retrouvailles!
Début de la visite à 11h bien tassé.





Puis ballade dans ces ruines sans guide si ce n’est le guide du routard, nous allons donc d’hypothèses en supputations, ce qui, ma foi, n’est pas inintéressant, mais manque un peu de sérieux sur l’aspect historique de la chose… Un guide nous accoste et finalement nous serons bienheureux d’avoir quelques explications sur ce premier site incas visité.
Nous restons de manière générale assez perplexe, ébahis, subjugués en découvrant cette civilisation par les ruines qu’il en reste. Peuple ingénieux, ambitieux, intelligent et si l’on y pense complètement  fou !!! Au vu des édifices qu’ils ont construits.

Saqsahuyman ressemble à une espèce de forteresse, mais est en réalité un temple dédié au soleil Inti Rami, assez monumental construit sur une colline dominant Cuzco, constitués de blocs de pierre colossaux qui pèsent jusqu’à plusieurs dizaine de tonnes. Toutes ces pierres colossales sont imbriquées les unes dans les autres de manière tout à fait parfaites. Et, bien évidemment, la première question qui te vient en tête est : « Comment c’est possible ? » et la réponse de notre guide qui arrive assez rapidement est « On ne sait pas vraiment… il y a différentes hypothèses, des gabarits en bois, des pierres qui se déformaient, et d’autres nombreuses  théories.


On nous assène depuis longtemps que la roue n’existait pas à cette époque, alors on s’interroge sur la capacité des Incas à avoir pu édifier des monuments de cette taille. En réalité, notre très cher guide nous explique que la roue n’aurait été que de peu d’utilité au vu du poids des pierres (une charrette n’aurait pas résisté) et du manque d’animaux pour tracter. Le lama n’ayant ni la force ni l’endurance d’un cheval ou d’un bœuf inexistant à cette époque au Pérou. Aucune théorie n’est réellement prouvée mais les archéologues pensent que des rondins de bois étaient utilisées et qu’il fallait environ 2000 hommes pour tirer une pierre.

Petite démonstration scientifique validée par Ben sur le transport de ces pierres:



Tirer un bloc d'une centaine de tonnes nécessitait-il vraiment 2000 hommes ? C'est l'heure de faire un petit calcul de force, simplifié à l'extrême : notons T la force nécessaire pour tirer un bloc sur une pente d'inclinaison α. Cette force doit surmonter celle du poids (P), celle de friction (F) et la réaction normale du sol (Rn), qui tendent toutes trois à tirer le bloc en arrière.

La force T est alors égale à F + P sin α. Avec un coefficient de friction d'environ 0,7 (un parterre de gravats), un bloc de110 tonnes et une pente à 10°, on trouve que la force T doit être supérieure à 942 701 N. Si un inca lambda peut tirer 50 kilos, c'est à dire qu'il fournit une force de 490 N, il faut alors environ 1924 paire de bras. 



Les chercheurs pensent qu’il a fallu environ 20 000 hommes pendant 50 ans pour ériger Sacsayhuaman.



Jusque fin du XXème siècle, le site n’étant pas protégé, il était possible pour tout un chacun de venir chercher les pierres afin de construire sa propre maison. On comprend la beauté de Cuzco ! Puis, l’état a demandé de rapporter ce qui avait été pris sur le domaine. Ca n’a pas franchement bien fonctionné !



Je ne suis pas certaine que les enfants aient tiré un enseignement très historique de ce site : par contre, ils ont joué à faire peur aux touristes en se cachant dans les canaux d’irrigation, ont découvert un toboggan naturel sur lequel ils ont glissé de longues heures, cherché des grottes. Nous ne les avons pas vus de la visite.

 
 
 

Ensuite, petite balade dans Cuzco avec visite du musée du chocolat. Les Auvinets nous racontent tout ce qu’il y a à savoir sur la production du cacao et SURTOUT, nous invite à déguster toutes sortes de mets délicieux. On les croirait presque chez eux ! Du cacao pur à la liqueur de cacao, en passant par une crème pour le corps que Philomène s’est empressée de lécher « Ben quoi, j’savais pas, on mange tout depuis le début, je pensais que ça se mangeait aussi… »


 
 

Puis rendez vous est pris pour notre petite expédition vers le Machu Picchu que nous avons décidé de gravir ensemble.…



Bien sûr il existe un train et même un bus qui vous dépose aux portes des ruines du Machu Picchu. Bien entendu, si tu payes (très très cher) il existe.
Mais il existe aussi une route alternative, celle par laquelle tu passes par plein de villages en contrebas du Machu Picchu et pleins de moyens de locomotions différents, au milieu des plantations de coca et d’arbres fruitiers.
Sur le papier, voilà à quoi  devait ressembler notre visite du Machu Picchu :



De Cuzco au Machu Picchu par Santa Maria, Santa Teresa et Agua Calientes

Jour 1 : collectivos de Cuzco ( 6 heures de trajet) sur une route goudronnée qui descend de 4000 mètres jusque dans la selva au petit village de Santa Teresa. Des thermes nous y attendent, parait-il.

Jour 2 : Prise d’un collectivo de Santa Teresa qui va jusqu’à Hydroelectrica. Puis marche de 11kms le long de la voie ferrée jusqu’ Aguas Clientes, pueblo au pied du Machu picchu.

Jour 3 : Lever à 3h 45 pour arriver avant que le soleil ne pointe en haut du Machu Picchu.
Quelques 1500 marches et autant de points de vue.

Jour  4 : retour des jours 1 et 2 dans la même journée, à savoir marche de 3 heures d’Aguas Calientes à Hydroelectrica puis prise d’un collectivo à 14h vers Cuzco avec arrêt pour nous à Ollantaytambo.

Dans la réalité, c’est à la fois plus burlesque, plus éprouvant, mais vraiment sublime.


Jour 1 :

Nous avons rendez vous avec le bus sur le parking d’Ollantaytambo, les Auvinets l’ayant pris à Cuzco. Salutations matinales on ne peut plus rapide, le chauffeur ayant décidé que nous devions un peu speeder, le bus est en retard sur son horaire!!! Au Perou, c’est quand même bien la première fois…
Au bout de 5 minutes, nous croyons mourir. C’est la première fois que nous prenons un transport collectif et là, on a 4 heures de route mais comment va-t-on faire? Le chauffeur est fou. Il ne connait que 2 allures: à l’arrêt ou pied au plancher. Nous traversons des paysages splendides, nous montons à des cols et redescendons dans les vallées. La route est dangereuse et très sinueuse mais lui accélère…
Le bilan du trajet: 10 Vomis en moins de 3h de route mais on est vivant. (la totalité des vomis appartenant aux deux familles française du bus, c’est-à-dire Nous)



A Santa Theresa, c’est la guerre des hôtels qui nous abordent à peine débarqués. On arrive à faire baisser les prix facilement et on nous vend du rêve: hôtel avec piscine, diner avec buffet à volonté, baby foot, billard, bar, musique, à 5 minutes à pied des thermes.
LA piscine est bel et bien là, devant nous, dans l’hotel, ils ont juste oublié de nous dire qu’elle n’avait pas été remplie… Et je crois qu’il n’ont pas encore saisi le concept du buffet à volonté au Perou. Ils essayent, ils essayent de proposer des trucs à l’occidental mais… ils nous appellent à la queue leuleu pour que tout le monde ait à manger, cependant, il est vrai que c’est un buffet !!
Thermes dans la soirée où nous faisons notre premier bain de foule avec des bassins pleins à craquer de touristes. Mais détente très agréable…

Les enfants sont couchés (après avoir cassé une vitre de l’hotel, s’être faire engueuler pas le personnel de l’hotel pour avoir perdu une balle de ping pong, et une chute des plus spectaculaires et néanmoins dangereuses de Cassiel ! ) A nous la piste de danse sur une play-list années 80 qui va très bien à la bande de quarantenaire que nous sommes. Absolument parfait… On les a tous couché les jeunots. Ils ont éteint la musique pour nous. Et, petite surprise à notre coucher, avec l’arrêt de la musique, ils ont arrêté le groupe electrogène, on se couchera donc dans le noir à la lampe de poche, C’est un comble.


Jour 2 :
Départ de Santa Theresa pour Hydro électrisa en collectivo.
ll faut faire le reste à pied sur le bord d’une voie ferrée: 11 kms pour arriver à Aguas Clientes, le pueblo en bas du Machu Pichu. Nous avons le temps et nous le prenons. Nous marchons à un rythme de sénateur mais nous arrivons avant la nuit. 

 

Of course,  tous les gens pauvres comme nous prennent ce chemin et on ne peut pas dire que 400 personnes sur une voie ferrée dans la journée, ce soit hyper sécure quand le train passe… MAIS ils ont mis en place un truc formidable: un monsieur est préposé à agiter les bras à l’avant de la locomotive pour nous prévenir que le train est prioritaire!!! Et, il a un petit sifflet… Oui, en même temps, ça ne nous serait pas venu à l’idée  de lui dire « Merde Hé, aujourd’hui, tu t’arrêtes et tu nous laisses passer, Merci. »

 

Aguas Calientes ressemble beaucoup à une station de ski des Alpes en haute saison. Des bars, des hôtels, des touristes. Ici on parle Français, Anglais, Allemand. Nous tentons de nous coucher tôt en préparant bien nos affaires pour le lendemain car le réveil est prévu pour 3h du matin.



Jour 3 :
Départ à 3h3O, même pas mal. Nous emportons les petits déj de l’hôtel qui semblent bien frugaux et louchons devant ceux des hôtels 5 étoiles devant lesquels nous passons. Le k-way de pluie est de la partie, les lampes torches également, parti pour grimper les 1700 marches jusqu’au Machu Pichu.

 
 


Et là, première désillusion, nous ne sommes pas seuls!!!
 

Deuxième désillusion, le pont, passage obligé, n’ouvre qu’à 5h30. Nous attendrons donc l’ouverture avec 500 personnes comme nous, qui n’ont pas de sous.

Troisième désillusion: Les touristes sont des cons. Au top départ, il n’y a plus d’amis. On se croirait au départ du marathon de Paris.
Mais après la première volée de marche, déjà, il y en a qui s’arrêtent, qui vomissent: ils sont partis trop vite. Les garçons font l’ascension plus rapidement que nous, notre groupe s’étale un peu mais on arrive tous vivant au poste d’entrée.
(C’est Ben qui a pris la plume là, parce que perso, j’en ai chié… à fond, et je suis arrivé juste un chouille avant Ulysse qui, je le rappelle, a 6 ans)
 

Dernier défi et non des moindres:
Non content de voir le somptueux, le majestueux, le mythique Macchu Picchu, on s’est dit « Allez, pourquoi qu’on ferait pas aussi la montagne du Macchu , c’est QUE 2060 marches de plus. Allez, on va pas mollir ! »

 

Nous avons donc pris dans notre billet les ruines du Machu Pichu ET l’accès à la montagne avec une inscription dans le premier groupe, celui qui commence l’ascension à 8h.
 

Nous enchainons donc.
On ne savait pas que gravir la montagne du Machu Picchu était pas mal ardue. Ça prend 3h pour arriver au sommet: 3 longues heures passées à monter des marches parfois hautes jusqu’aux genoux, parfois glissantes, toujours irrégulières et dangereusement proches de profonds ravins. A partir de la moitié, on rencontre d’autres aventuriers plus rapides qui nous encouragent à continuer « oui, oui, vous êtes proches, courage, plus que 5 minutes! ». C’est ça oui! 45 minutes plus tard, on est toujours en train de monter des marches en s’agrippant à ce faux espoir que le sommet est juste là, au prochain tournant. L’espoir fait vivre!
 

En parlant avec Mathu durant l’ascension de la montagne, celui-ci réalise que nous avons déjà passé le Macchu Picchu et que nous montons encore: «  Non, mais ça va pas, pourquoi on monte encore si le Machu Picchu est en bas, fallait me le dire avant, moi, je monte pas plus »
Moi, lui rétorquant que l’on monte pour la vue
« Mais je m’en fous de la vue, elle très belle d’ici la vue, moi je suis monté pour le Machu picchu, pas pour la vue… »
 

Ceci-dit, la souffrance de l’ascension en vaut largement la peine. Les « survivants » qui arrivent aux sommet sont récompensés par une vue absolument magnifique sur les ruines et la vallée du Machu Picchu et sur les montagnes avoisinantes qui l’ont protégé des conquistadors et lui ont valu le statut de cité perdue des Incas pendant si longtemps.
 
 

C’est tout un tourbillon d’émotions de relever ce défi: un sentiment de petitesse face à la majestueusité du paysage, de faiblesse et d’impuissance lorsque notre corps nous abandonne, mais surtout une grande fierté d’avoir réussi. 
 

Daoud et Sylvane se relaierons et monterons chacun leur tour au pas de course pour qu’Ulysse se pose. Il fatiguait un peu, étonnant non?
 

Il n’est que 9h, et nous avons l’impression d’avoir effectué notre journée, on mangerait bien un boeuf mais on a déjà petit déjeuner il y a … il y a combien de temps déjà?? Nous redescendons après une longue pause en haut.
 
 

Direction les Portes du soleil pour un groupe de courageux et le Pont de l’Incas pour l’autre. Puis nous partons à l’assaut des ruines du Machu Picchu que nous visitons (un peu au pas de course) jusqu’à la dernière heure dans un site quasiment vide de touristes. 
 
 
 

La descente des 1700 marches jusqu’au Aguas caliente nous laisse fourbu en bas, nous avons juste la force de diner et de nous coucher.




Jour 4 :
On pourrait se dire que, ça y est, c’est fini, on l’a fait, que nous avons pu fouler de nos pieds le Machu Picchu… Mais il s’agirait de ne pas oublier le retour et que nous sommes 10, dont 6 enfants qui devons à nouveau faire les quelques 12 km retour jusqu’à l’arrêt de notre collectivo prévu à 14h et qui nous ramènent à Ollantatambo.
 

Nous sommes un peu speed (surtout les Content, il faut bien le dire) mais nous sommes à l’heure en ayant le temps de déjeuner bien en avance afin d’anticiper les vomitos de notre prochain trajet en bus. Et c’est là que nous sommes confrontés au système d’organisation Péruvien. Pas de bus à 14h, pas non plus à 14h30 ni 15h. On voit tout le monde partir mais nous on reste là avec nos enfants au soleil à attendre qu’on nous appelle. On se démène, Sylvane appelle l’agence, on va voir les chauffeurs.
Tranquilou Bilou, notre bus arrive à 15h30. Daoud explique calmement mais tout à fait clairement au chauffeur que malgré son retard, il n’est pas question de revivre l’expérience du chauffeur fou de l’aller. Cela aura pour conséquence de faire sortir quelques voyageurs préssés qui seront très vite remplacés…Avons nous été moins vite pour autant ?? Rien n'est mois sur.

 

Nous rentrons avec les Auvinets heureux et fourbus de notre excursion au Machu Pichu mais nous avons vraiment apprécié de « mériter » le Machu Picchu.
Nous dormons le soir à Ollantaytambo dans notre camping car que l’on retrouve avec plaisir et la famille Auvinets dans un hôtel fleuri.
On se retrouve le lendemain pour notre premier petit déjeuner sur un marché que Daoud et Sylvane nous font découvrir. C’est un régal, une abondance de jus de tous les noms avec tous les fruits qui existent. Le fameux Cake à la banane qu’Anne So n'en finit plus de rechercher dans toutes les tiendas que nous croisons, le jus chaud de quinoa que j’apprécie particulièrement.

On continue par la découverte de la Vallée Sagrada. Visite sans se presser du temple d’Ollantaytambo. Quelle idée de visiter à nouveau des ruines Incas avec au programme: DES MARCHES, encore des marches. Nous faisons le choix de prendre un guide pour cette visite et c’est à nouveau passionnant.




Nos deux gars arrivent tout de même, l'un à se faire cracher dessus, l'autre à se faire donner un petit coup de sabot par un alpaga paissant tranquillement dans les ruines...













A nous maintenant de faire découvrir notre mode de vie de nomades aux Auvinet. Ce ne sera que deux jours mais deux jours bien sympa à se ballader de ruines en salines, à profiter d'une petite soirée au coin du feu, à chercher et trouver un bivouac, à fêter la fin des cours en brulant les cahiers de l'année! Ô Bonheur, Ô Joie...Ô délectation des enfants devant ce grand feu de fin d'année.



Avec une tente de 4 personnes dans laquelle tous les ados ont dormis (pas beaucoup, mais un peu quand même) et notre grand camping-car, on a tous réussis à se trouver une place... plus ou moins grande selon



Sur la place du village, petite fête sur laquelle nous tombons avec danse, gorilles et musique...






Petit resto à la péruvienne

Puis visite des ruines de Moray, ancien centre de recherche agricole incas:





Puis visite des salines de Maras, tout à fait splendides...



















Et ce sera nos derniers temps avec les Auvinets qui commencent un woofing avec des lamas le lendemain matin et sont attendus dès le soir même. Cette fois-ci, il n'est plus prévu de les revoir avant la fin du voyage, mais plutôt dans un an!!! Rendez vous est pris pour une rando de quelques jours sans enfants OU des travaux dans votre nouvelle maison OU (et je pense que c'est encore le meilleur,) une soirée Pisco . Ben se charge de ramener une stère de bois...
Leur programme sur leur dernier mois de voyage étant d’effectuer un autre woofing en Amazonie puis direction le Brésil avant de s'en retourner vers leur Suisse bien-aimée. Quand à nous, nous finissons de visiter la vallée sagrada, un petit tour à Cuzco pour régler notre passionnante vie administrative française puis direction la selva peruvienne pour également un woofing dans une finca de café...

Un autre site Inca, le site de Pisac.





Puis, visites des ruines de Chinchero et je cois que l'on peut dire qu'on en a bouffé de la ruine Incas...on en a eu notre dose pour une bonne petite année.






Enfin, le village de Chinchero dans lequel nous avons bien apprécié le marché avec toutes ses couleurs et surtout tous ses tissus.



Enfin, retour à Cuzco avec petites ballades dans la ville et surtout gros gouter et petit déjeuner dans le marché :







Un petit clin d'oeil aux Peigné...Y a plus qu'à...








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