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vendredi 26 août 2016

La Colombie ou le bonheur de se retrouver entre amis !


Une fois n'est pas coutume, nous laissons la plume à Maylis et Christo... avec une joie incommensurable... pour nous remémorer ce temps passé ensemble...en Colombie. Ce fut épique, génial, grandiose, fatiguant, revigorant, top, extra, trop cool... et de relire, tout ça, ça nous fait plein d'émotions.... Allez, on les laisse le raconter:



On aurait pu penser que 5 semaines ensemble suffiraient à nous requinquer pour l’année, ou à nous dégoûter d’être ensemble… Après tout on s’est jamais vu aussi longtemps sur une année non ?

Ben non… non seulement on est toujours amis (après 5 semaines à 11 dans un camping-car pour 5 sous 40° ça tient de la magie…ou de l’amitié ??), mais en plus ça fait à peine 2 mois qu’on est rentrés, et ça y est,  vous nous manquez déjà… !! (bon ben maintenant ça fait 4 mois, le temps d’écrire cette note en entier…)

Retour sur ces 5 semaines ? On l’avait promis, on la ferait cette p… de note de blog, aller on va s’y mettre !

Tout a commencé par cette petite phrase « on a décidé de continuer notre voyage une seconde année ». Ben comment ça une seconde année… ? Mais non enfin, pas possible ça !! C’est beaucoup trop long sans vous !! « Ah cool ! Vous devez être supers contents ! Ca va faire un peu long hein !! Quelle bonne idée ! »
C’est là que ça a commencé à gamberger, apparemment dans la tête de chacune de nous (Anne-So tu confirmes ?), sans que nous nous le disions vraiment. Et puis on s’est parlé plus souvent sur Whatsapp, et puis nos amis, les Auvinet ont vu les Content, et puis on vraiment trouvé ça insupportable, et puis on a fini par s’en parler avec Anne-So de cette histoire de se rejoindre quelque part, et on est tombé d’accord sur le fait que c’était vraiment important.
C’est parti donc, on cherche des billets pour un budget improbable, voire inexistant à ce qu’il paraît, on lance la fabrication de passeports, dépôt des dossiers le 1er juin, c’est large, il faut 6 semaines maxi, et Christo n’est pas en vacances avant le 29 juillet.
Mais des billets si peu chers ça n’existe pas, alors finalement le 3 juin, un petit appel d’Anne-So :
-       - Dispo pour un whastapp ? Faut qu’on décide ce qu’on fait,
-       - Ben non, Christo est pas là… Ah ben si le voilà qui rentre ! Ok dispo tout de suite !
-       - Alors vous avez trouvé ?
-      - Non, rien… Je pense qu’on va lâcher l’affaire, tant pis. Ce sera trop tard pour que vous nous rejoigniez là on où arriverait et il n’y a rien dans les prix qu’on s’est fixé…
-       - Zut de flûte
-       - Tu l’as dit mince de mince
En off, tout en discutant, je regarde pour la 10millionnième fois les sites de billets d’avion, et là…
-       - Attends putain, il y a un billet pour la Colombie dans nos prix !!!
-       - Heing ??
-       - Ben oui !! Ca le fait la Colombie ? Medellin ??
-       - Attends, Ben appelle son pote Colombien et lui pose la question
-       - Oh putain de putain de putain !! C’est fou !!
-       - Ca marche Medellin, c’est nickel, et pour nous c’est possible de vous retrouver !
-       - AAAAAAAHHHHH !! Ben on les prend ! On part de Madrid le 29 juillet, et on rentre le 26 août !!
A cet instant petite intervention de Christo : ben les filles doucement, je suis pas du tout en vacances à cette date là !
-       - On s’en fout ! C’est un signe, c’est la seule fois où on voit ce prix, c’est NOTRE billet !!
A cet instant encore, petite intervention de Ben : ben les filles doucement, faut partir de Madrid quand même
-       - On s’en fout, Madrid c’est tout prêt !! (Heureusement que Maylis est nulle en géo, Madrid en fait, c’est très loin mais ça elle s’en rendra compte un peu plus tard… )

C’est ainsi que dans la soirée, les billets furent pris, accompagnés d’exclamations de joies délirantes, de danses dans le salon des De Almeida tard dans la soirée, de rires fous dans le camping des Content, de Skypes déjantés, où nous n’arrivions plus à parler tellement les sourires étaient grands sur les visages.

Je ne vais pas vous faire le topo de toute la préparation de ce petit voyage. Vous saurez en vrac que nous n’étions pas seuls, et bien accompagnés, puisque Christo a pu prendre ses congés sans aucun soucis, que nos passeports sont arrivés le jour de notre départ, que nous avons reçu des lettres pour les Content jusqu’au dernier moment, que Madrid c’est très très très loin, mais qu’un Christo motivé peut rouler 15 heures sans s’arrêter alors qu’il a bossé jusqu’à la dernière minute et est au bout du rouleau… Et qu’un camion ça peut tomber en panne 100 bornes avant Madrid, mais que les assurances c’est parfois utile, que l’hôtel 4 étoiles c’est le pied, et que les parents c’est sympa quand ça veut bien gérer les emmerdes de camions en Espagne pendant que leurs enfants et petits-enfants se cassent à l’autre bout du monde… ! Vous saurez aussi que Medellin, c’est loin du Pérou. Et que 3500 km en Amérique Latine ça prend du temps, que l’Équateur c’est long à traverser, et qu’un Ben et une famille Content motivée ça peut rouler un mois sans s’arrêter, aller visiter des maisons improbables proposées par Guillaume, ami des De Almeida et des colombiens, et trouver grâce à lui une splendide finca pour se retrouver paisiblement et avec de la place à l’arrivée !!

Ouf ! On est dans l’avion, et moyennant quelques retards, on
arrive à Medellin !!Retrouvailles émues, incroyables, on y est, on est ensemble ! On monte dans le camping-car, on arrive dans cette finca complètement hallucinante, pleine de grandes chambres et de salle de bains, avec de l’eau chaude, du silence, une immense table pour s’asseoir tous ensemble autour , bref le paradis ça doit être un truc comme ça.
On y passera 5 jours. 5 jours à papoter, se retrouver, échanger les cadeaux et les lettres, s’émerveiller de la Colombie, rencontrer Juan Guillermo et Clemencia, José, et  se réjouir.

lundi 1 août 2016

MERCI MERCI MERCI MERCI !!!!!!!!



C'était eux qu'on attendait... et après bien des déboires pour arriver jusqu'à nous (mais je leur laisse le soin de le raconter en détail dans notre leur prochain article.. hein...n'est-ce pas? avec moult photos de Christo) nous sommes venus les chercher à l’aéroport le 21  juillet à 01h du matin après une attente qui nous a paru totalement interminable...

mercredi 20 juillet 2016

Un accueil des plus chaleureux pour nos premiers pas en Colombie


Bon, c'est encore moi qui écrit.

Vous allez finir par croire que c'est moi qui fait le blog tout seul. Non non je vous rassure, les articles n'auraient pas la même gueule si je les faisais seul.
Ce serait probablement plus à jour, mais surement moins intéressant. En fait, je suis prié de donner un coup de main en cas de gros retard... mais, ce n'est pas notre situation actuelle! Nous ne sommes aujourd'hui que le 29 octobre et j'écris sur notre entrée en Colombie le 6 juillet. Oui ! mais nous avons des articles quasiment prêts.



mardi 19 juillet 2016

Des p'tites poses d'Amérique latine





Abi nous a concocté un p'tit montage vidéo de notre p'tit tour en la casa rodante : 6 mois de poses que j'ai exigé de mes enfants et mari dans quelques lieux remarquables visités!!! ...avec cris, lamentations et râles "Oh grands Dieux, que nous fait-elle faire???"  Finalement ça valait le coup.

Alors une  p'tite dédicace  toute spéciale à Adèle (JJG oblige!) la commentatrice, le suiveuse assidue, la #j'listouslesblogsdelafamillequandilspublientquelquechose! Merci...

mercredi 6 juillet 2016

J-29 à J-15: Le Nord Pérou et passage éclair en Equateur


Nous sommes maintenant le 22 juin. J - 29 avant l’arrivée des De Almeida!!! Yeaaah…

Nous devons encore parcourir 3200 Kms avant le 20 juillet. Nous savons que certains jours nous ne pouvons pas faire plus de 100 kms à cause de l’état  des routes, à cause d’un passage de frontière, d’un besoin de connexion wifi…


lundi 20 juin 2016

Mon café n’aura plus jamais le même goût!!!


Désolé, on se sent inspiré ici, au calme, loin de toutes civilisations et je me suis un peu emballée… mais Daniel Pennac m’a appris quelque chose ou en tous les cas, Alexis m’a appris quelque chose par le biais de cet auteur: c’est que le lecteur a tous les droits, celui de lire, de ne pas lire, de sauter autant de passage qu’il veut ou encore de ne lire qu’un mot sur deux… En tous les cas, je me le suis approprié de cette manière… A bon entendeur,

Et puis, regardez d’où j’écris, on se sentirait inspiré pour moins que cela, non?


 

samedi 4 juin 2016

Du goût prononcé des Incas pour les escaliers ou Cuzco, la Valle Sagrada et le Machu Picchu.

Arrivée de nuit à Cuzco, après une une bonne journée dominicale à ne faire que de la route sur des routes plus moins bonnes. Passage devant une 56ème chapelle sixtine d’Amérique du Sud. Dommage, je n’aurais pas droit à ma petite visite, il fait nuit…


Retrouvailles prévues à 10h le lendemain matin avec les Auvinet, arrivés depuis 3 jours, pour visiter les ruines de Sacsayhuaman près de Cuzco. Nous n’arrivons pas à décoller et n’arrivons qu’à 10h15 dans les ruines ou nous avions rendez-vous.
Nous voilà donc à traverser tout le site en courant, à refuser de prendre un guide en courant, à passer devant de superbes ruines en courant, et aller à l’autre entrée en courant… hyper intéressant comme visite. Mais point de Auvinet. 
Après un coup de fil éclair, nous découvrons qu’ils ont un peu de retard, qu’ ils ont oublié de prendre des sous pour payer l’entrée, et qu’il faut qu’on vienne les dépanner à l’accueil. HA, Daoud et Sylvane, Ma qué…Plaisir des retrouvailles!
Début de la visite à 11h bien tassé.



dimanche 22 mai 2016

Frontière péruvienne et premier bakchiche


Départ le matin du lago Titicaca. En partant, nous passons pas très loin de la cabane des enfants mais même en se tordant le cou nous n'arrivons pas à l'apercevoir. Nous n'avons pas dormi sur le même lieu de bivouac qu'avant Isla del sol, de peur de se taper un gros cafard. Nous devons maintenant passer la frontière vers le Pérou et ce n'est pas une mince affaire car nous n'avons pas la fameuse assurance qui ne sert à rien mais qui est obligatoire: la SOAT.



Sur l'application Ioverlander, cette frontière à l'air d'être un peu délicate car les douaniers sont véreux et demandent à tous les voyageurs un bakchich. Nous savons aussi qu'avec l’équivalent de 10€, cela devrait suffire.



Arrivé à la frontière, la sortie de Bolivie se passe très bien, nous avions convenu avec Anne-Sophie qu'avant de passer la frontière Péruvienne avec la casa rodante, je passerai seul la frontière et j'irai acheter la fameuse assurance au village le plus proche à 6 kms.
Le taxi me dépose devant une échoppe fermée et me dit que la tienda à fait faillite mais que je peux acheter une SOAT à la ville plus loin, il peut m'emmener pour un prix exorbitant. Je n'ai pas encore tous les repères du Pérou, je ne connais pas le coût des choses ici, j'accepte l'arnaque. En route pour la ville d’où je rentrerai aussi bredouille car ils ne vendent que l'assurance régionale et non l'assurance internationale.
Je retourne donc au camping-car où les enfants ont bossé avec Anne-So le CNED, on veut finir les cours avant le Machu Pichu, c'est-à-dire dans 15 jours.





vendredi 13 mai 2016

De Tiwanaku au Lac Titicaca, dernières étapes boliviennes



Dernière halte que nous avions envie de faire avant de nous rendre au lac Titicaca, les ruines de Tiwanaku.

Que comprendre de ces ruines? Sans guide, pas facile de tout comprendre si ce n’est que l’on se trouve dans un site archéologique qui date d'une époque préincas dont l'apogée de la civilisation fut du VIIIème au XIIème siècle…
Comme d’habitude, à l’entrée, petit hic quand on voit les prix grimper et se multiplier par 8 pour les turistas extranjeros. Très franchement, nous comprenons que les prix soient plus conséquents pour les étrangers : Cela facilite l’accès à la culture pour les boliviens qui très clairement n’ont pas le même niveau de revenu que nous ; jusque là, nous sommes ok. Mais de là à multiplier jusqu’à 10 fois les prix, cela nous rend l’accès à la culture impossible ; et là, franchement je ne comprend plus. Il faudrait qu’ils aillent jusqu’au bout et faire un prix par pays ou même en fonction des revenus : Tu montres ta feuille d’imposition avant d’entrer  dans le musée, et en fonction de ton nombre de part par foyer, tu payes ! Bien, ça y est, mon petit coup de gueule est passé.


vendredi 29 avril 2016

Au coeur des Yungas et de la culture de la Coca


Nous voulions après l'étape de La Paz  voir la région des Yungas. Dans une volonté de vivre de nouvelles aventures à la baroudeur, nous voulions même ne pas repasser par La Paz et arriver directement sur le Lac Titicaca .
En fait en Camping Car, il n'est pas possible de passer par Sorata. En voiture non plus d'ailleurs. Il faut soit une moto soit un 4X4 et là quand on dit ce n'est pas possible, ce n'est pas possible. 
Nous avions expérimenté en vélo la route de la mort au départ de La Paz, mais en fait, nous n'avons fait qu'un bout de cette route et elle s'enfonce bien plus loin dans des conditions de plus en plus extrême tellement la nature ici reprend rapidement ces droits.
 

Bref après avoir revu à la baisse nos ambitions pour raison technique, nous voulions quand même voir cette région et l'explorer aussi loin que possible.

mercredi 20 avril 2016

La Paz ou l’orgie de bouffe occidentale


Devant notre retard abyssal en matière d’article sur le blog, je suis prié gentiment de mettre la main à la pâte pour écrire quelques articles. Alors voilà, c’est de nouveau moi, Benoît qui m’y colle pour La Paz et Le Parc National de Sajama.

Nous voila repartis de Cochabamba, en route pour La Paz mais avant, nous voulons aller passer un peu de temps au vert. Il y a un parc national le Parc de Sajama du nom de la montagne au centre du parc.
Nous décidons d’y passer une bonne semaine avec au programme rando, thermes et calme, bien sur comme toutes décisions, celle-ci sera mise à mal et nous changerons nos plans.





lundi 11 avril 2016

Cochabamba, capitale gastronomique et gastro entérite.


La route pour Cochabamba fut épique, emplie de découvertes, superbement belle, il s’agissait pour nous de nos premiers kilomètres mais pas de nos derniers sur l’Altiplano. Et nous avons croisé de tous petits villages dans lesquels nous nous sommes arrêtés, soit pour dormir ou y manger. Et là, nous nous sommes vite confrontés à une difficulté dans la communication, beaucoup de personnes rencontrées ne parlent que Quechua??? ou Aymara???, (deux des dialectes de Bolivie) M’enfin à mon niveau, je n’ai pas toujours reconnu…
 


J’ai un peu l’impression qu’il va falloir que je me renouvèle dans les adjectifs décrivant l’immensité, la beauté, la découverte et les paysages. Et oui, encore une fois, nous sommes scotchés. Au moins, nous nous réjouissons de ne pas nous lasser de ces splendeurs…

Sur l’Altiplano, les pueblitos où nous nous arrêtons pour dormir sont tout en adobe, et on rencontre les premiers lamas que les enfants peuvent approcher de près.

La découverte de la Bolivie, c’est aussi le stress de l’essence dont Ben a déjà parlé quand nous avons été à Uyuni. Ici, rebelote, il nous faut attendre 170 km pour réussir à acheter de l’essence. 5 stations essence refusent de nous faire le plein parce que nous sommes des étrangers…On nous propose même de retourner à Potosi pour faire le plein d’essence. Heu?? Non merci.




samedi 26 mars 2016

Descente dans l'enfer des mines de Potosí


Potosí, nous n’y aurons finalement passé que deux jours mais je crois que l’on peut bien y consacrer un article entier. Je ne m’étendrai pas sur les différentes visites que nous y avons effectué. Une seule nous aura suffisamment marqués pour que nous ne parlions que d’elle.




mercredi 23 mars 2016

Petites déconvenues... dans le Salar d'Uyuni


J’ai arrêté de fumer, c’est décidé, j’arrête d’écrire. A Ben donc de prendre le relais:



Me voila donc contraint et forcé de prendre le relais.

Avant tout, je voudrai rectifier une chose ou deux.
Je ne fais pas rien sur ce blog. Je prends les photos en tous cas 90% des photos. Je les trie et les sélectionne et je peste pas mal sur ce job car vous laissez l’appareil à un enfant ou à Anne So et c’est pareil: chaque photo est faite en 10 exemplaires et je dois choisir la meilleur.

Enfin, je suis responsable « téléchargement des photos » et là, je vous assure qu’avec les connexions internet que nous avons, ce n’est pas une sinécure.
Enfin, il semble que je sois responsable « relecture » mais dans ce domaine là, je ne suis pas très bon et responsable « mise en page » mais là aussi, ma participation est partielle.
Alors oui, je vais écrire cet article mais non, je ne fais par rien sur ce blog même si ce que je fais ne se voit pas.


Bon passons au salar d’Uyuni.
Vous le savez, pour le Sud Lipez nous avions fait une préparation digne des JO.
Pour le salar, nous nous sommes dit: une grande étendue blanche, plane, à perte de vue, sans point de repère et sans GPS, sans carte car il n’y a pas de route, des montagnes de chaque coté pour se repérer, des pistes que nous devrions voir vu le monde qui passe sur ce salar, des dizaines de milliers de touristes annuel, et enfin tous les campicaristes qui font le salar seul. Facile pour nous.

vendredi 18 mars 2016

Le grand, le magnifique, le subjuguant SUD LIPEZ



Des paroles apparaissent peu nécessaires pour décrire le Sud Lipez, on en a pris plein les yeux et plein les suspensions également. On s'est régalé, ça a été pour nous un moment fort de notre voyage, au milieu de nul part, à l'aventure, donc je ne m'étendrais pas par écrit (les photos suffiront) si ce n'est peut-être sur le comment on en est arrivé à traverser un désert, seul en camping car...

Volcan du Licancabur (5960m). On commence à monter en altitude et ça commence à se refroidir mais on avait pas encore prévu...alors on caille un peu.